Favoriser la croissance du cerveau
Le jeu d’échecs défie le cerveau et de ce fait améliore la communication entre les neurones.

Faire travailler les deux côtés du cerveau
Durant le jeu d’échec, le cerveau utilise simultanément les deux côtés du cerveau pour analyser les formes géométriques pour répondre plus rapidement aux questions de position

Améliorer votre QI
Une étude faite auprès de 4 000 étudiants vénézuéliens a produit des hausses significatives dans les scores de QI des garçons et des filles après quatre mois d’instruction au jeu des échecs.

Aider à prévenir la maladie d’Alzheimer
Le dicton à propos du cerveau « l’utiliser ou le perdre » s’applique certainement ici, comme un cerveau sédentaire peut diminuer la puissance du cerveau en général. Voilà une raison de plus pour jouer aux échecs avant d’atteindre ses 75 ans.

Améliorer la créativité
Jouer aux échecs aide à libérer votre originalité, car il active le côté droit du cerveau, le côté responsable de la créativité.

Récupérer des A.V.C.
Le mouvement des pièces dans différentes directions aide aux habiletés motrices alors que l’effort mental améliore les compétences cognitives et de communication.

Augmenter les compétences de résolution de problèmes
Un match d’échecs nécessite une réflexion rapide et la résolution de problèmes à la volée parce que votre adversaire change constamment ses paramètres.

Enseigner la planification et la prévoyance
Parce que jouer aux échecs nécessite une pensée stratégique et critique, il contribue à promouvoir le développement du cortex préfrontal et aide les adolescent.e.s à prendre de meilleures décisions dans tous les domaines de la vie, peut-être les empêchant de faire un choix irresponsable et risqué.

…et aussi pour…

Améliorer les habiletés de lecture
Optimiser l’amélioration de votre mémoire
Aider à gagner confiance en soi
Aider à la concentration
Aider à gérer la pression
Aider à comprendre la conséquence de nos actes…
Apprendre et gagner, et à perdre…